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MUSICULTURE SOUFFLE SES 11 BOUGIES !
Géants du jazz, de la soul, de l’électronique, du rap ou du rock, ils sont nombreux à avoir chanté l’été. Une belle façon de célébrer la belle saison, d’en donner sa version ou simplement de mettre en musique les émotions qu’elle procure. Quelques beaux exemples à travers les époques et les genres. Beau voyage !
Le 5eme album de Janet Jackson va être réédité le 7 juillet prochain. L’occasion pour nous de revenir sur l’œuvre qui porte son prénom comme titre et qui marqua indéniablement l’année 1993. Après Control et 1814 Rhyhm Nation, la sœur de Michael se faisait un prénom. Une reconnaissance planétaire.
La bassiste Meshell Ndegeocello est de retour avec un nouvel album sur le label Blue Note. Cinq ans après Ventriloquism et 30 ans après ses débuts, elle offre une œuvre introspective parsemée de belles collaborations. 18 titres pour un voyage intérieure et musicale.
Les premiers sensibles à cette culture reçoivent des images de graffitis et de la musique via les premières sorties vinyles de 1979, soit 6 ans après les débuts dans la « grosse pomme ».
Un peu plus de quinze années que « Flying Lotus » alias Steven Ellison est là. Et on ne s’en lasse pas, bien au contraire.
Non seulement ce groupe de funk a marqué les années 1970 mais il est également à l’origine de la commercialisation du rap. En effet, c’est en entendant un de leur titre que Sylvia Robinson s’est empressée de sortir « Rapper’s Delight » sur son label « Sugarhill ».
St Paul est un artiste intimement lié à Prince au début de sa carrière. Puis il a su se libérer de l’emprise de celui-ci pour explorer d’autres terrains.
Waxidermist est parisien. Il joue une musique urbaine à la croisée des cultures Hip-Hop, soul et jazz. Une musique puissante qui respecte les courants dont elle est issue.
Eric Leeds est un saxophoniste dont la carrière repose presque entièrement sur son ami Prince. En effet, il a passé sa carrière avec lui sur scène et en studio. Même ses projets solo, sous le nom Madhouse ou sous le sien, doivent beaucoup à Roger « Prince » Nelson.
Agressive, provocante, indécente, Betty Davis l’était dans son attitude, incontestablement. Sa musique en était le reflet : un funk pur, africanisé, sans fioritures.