ça commence avec la bass ronde, funky et groovy de Natallino Neto et la guitare de Nelson Veras. Puis très vite, l’accordeon de Frederic Viale entre en jeu donnant la teinte jazz brésilienne de l’album.
LE 08 Decembre au « Sunset« , Paris.
Onze compositions entre ciel et terre, entre ryhme et nostalgie à l’image du titre éponyme. Les amateurs de morna, de fado, de tango et de bossa nova apprécieront l’ambiance de cet album. Mieux, ils sauront savourer son interprétation, tout en finesse, en placement dont les balayages de Zaza Desiderio donnent le ton. C’est beau ! Même Natallino Neto adapte sa bass ronde à cette ambiance générale. Il est impressionnant sur « Ormeo » et nous rappellera aisement la classe d’un Victor Bailey ou plus prêt de nous d’un Jeremie Coke.
Frederic Viale fait honneur à son idole Eddy Louiss à qui le somptueux « Le Roi Louiss » est dédié.
Un bel album tant visuel que sonore, bon pour le corps et l’esprit.
Frederic Viale « Les Racines Du Ciel » (2016, Diapason-Absilone-Socadisc)**