FUNK-1985 / CAMEO
Il reste bien peu de choses du groupe Cameo aujourd’hui. Pourtant, il eut une réussite insolente et fut une influence majeure pour de nombreux rappers, grâce à des albums comme ce « Single Life ».
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Il reste bien peu de choses du groupe Cameo aujourd’hui. Pourtant, il eut une réussite insolente et fut une influence majeure pour de nombreux rappers, grâce à des albums comme ce « Single Life ».
Lorsque le Prince devenu empereur descendait parmi les hommes…à Louisville (Kentucky, USA), Minneapolis (Minnesota, USA), au Bataclan (Paris, France) ou à Nagoya (Japon)…
Avant les années 1980, le Minnesota était connu pour ses champs de maïs, ses beaux lacs et son climat glacial l’hiver.
Avant the « New Zapp IV U », le groupe de Roger Troutman avait déjà sorti trois albums et un hymne de la musique funk : « More Bounce ».
D’abord la pochette, rose, avec cette silhouette sexy hyper stylisée. Elle tranche avec celles de l’époque qui faisaient souvent place à une photo de l’artiste. Ici, aucun des membres n’est présent. Juste une phrase discrète : « BB & Q band featuring Curtis Hairston ».
Les précurseurs ont installé des bases solides. Hollywood s’est déjà emparé du phénomène avec des films comme « Beat Street » et une multitude de petits labels se partagent la distribution du rap.
Premier volet d’une série que nous vous proposons sur l’histoire du rap, de ses débuts fin des années 1970 à aujourd’hui.
À 73 ans, Stevie Wonder est une des dernières grandes figures de la musique noire américaine. Depuis sa naissance à Saginaw, USA, il a ponctué six décennies de hits mondiaux et d’airs inoubliables, restant fidèle au label Motown. Retour sur une carrière hors norme, de Little Stevie à Daft Punk.
Les premiers sensibles à cette culture reçoivent des images de graffitis et de la musique via les premières sorties vinyles de 1979, soit 6 ans après les débuts dans la « grosse pomme ».
Non seulement ce groupe de funk a marqué les années 1970 mais il est également à l’origine de la commercialisation du rap. En effet, c’est en entendant un de leur titre que Sylvia Robinson s’est empressée de sortir « Rapper’s Delight » sur son label « Sugarhill ».