Bruno Hovart, bassiste, guitariste et producteur aime le « groove » en général. Originaire de Versailles, ville qui nous a également offert AIR, il a voyagé autant qu’il a multiplié les genres. Disco, soul, funk, hip-hop, cultures électroniques, il sait faire. Rencontre à l’occasion de la sortie de son nouveau projet intitulé « Da Break », preuve saisissante de sa maitrise du groove.
[jwplayer mediaid= »17986″]
Musiculture : L’esprit hip-hop des débuts et la « zulu nation » semblent importants pour vous : Pourquoi ?
Bruno Hovart : Tout simplement parce que c’est le son et l’énergie de nos adolescences, dans les années 90 ! De La Soul, Gangstarr, Stereo MC’s, Fugees etc…. un âge d’or du Hip Hop pluridisciplinaire « avec le sourire » (arts plastiques, musique, danse…). Les sampling de Prince Paul, de RZA nous ont ouvert les oreilles sur la soul et le funk de la meilleure manière qui soit ! Concernant la « Zulu Nation », nul d’entre nous n’en a jamais fait partie, mais sans Afrika Bambaataa aux US et Dee Nasty en France, rien de tout cela ne serait arrivé !
M : Jen Hawa, Remy Kaprielan : Comment les avez-vous rencontré ?
B.H. : Lyon est une ville où les rencontres et croisements entre musiciens sont faciles. Remy, Jennifer et moi même travaillons ensemble depuis de longues années sur différents projets musicaux tels que Mr President, Mr Day, Taggy Matcher, Voilaaa….etc. Si mes souvenirs sont bons, la première rencontre à trois fut lors d’un concert de jazz-gopsel, Jennifer chantait, Remy tapait, et j’écoutais…
M : Où a été tourné le clip ? Pourquoi cette idée d’une K7 audio ?
M : Bruno Hovart ; Quand et comment avez-vous débuté dans la musique ?
M : Si Bruno Hovart devait passer le reste de sa vie sur une île déserte : Quels sont les 5 albums qu’il prendrait avec lui ?
Da Break : Acheter